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Réduire la consommation d’un climatiseur pour profiter d’un confort intérieur et financier

réduire la consommation du climatiseur

Réduire la consommation d’un climatiseur en été et en hiver. Même s’il a la réputation de consommer trop d’électricité, il est parfois injustement dénigré. Est-ce que tous les climatiseurs consomment beaucoup ? Avant de répondre à cette question, pensez adopter les bons gestes pour réduire nettement votre facture d’électricité.

La consommation électrique moyenne d’un climatiseur

En termes de consommation d’énergie, de nombreuses variables entrent en ligne de compte. Généralement, celle-ci est déterminée par la nature de votre appareil et surtout par la puissance du compresseur. Par exemple, la consommation moyenne d’une clim gainable n’est pas la même que celle d’une clim réversible. En effet, la consommation se mesure en nombre de kilowatts par unité de temps. À titre explicatif, prenons l’exemple d’un climatiseur utilisé 8 heures par jour pendant 60 jours. Pour plus de détails à ce sujet, contactez l’expert de cette entreprise de climatisation.

Pour un climatiseur de puissance 1 500 W, la consommation annuelle est de l’ordre de 720 kWh. En contrepartie, un climatiseur 4 000 W consomme environ 1 920 kWh. D’ailleurs, ces valeurs vont dépendre de la durée d’utilisation. En premier, elle sera impactée par la région dans laquelle vous vivez. Plus elle est chaude et méditerranéenne, plus vous augmenterez la consommation de climatisation afin de gagner en confort. De même, la consommation électrique dépend aussi de la taille de la pièce à rafraîchir.

Tous les climatiseurs sont-ils énergivores ?

Les climatiseurs ont, depuis longtemps, été considérés comme énergivores. Pourtant, cette hypothèse n’est potentiellement pas vraie. En réalité, il existe des climatiseurs jugés peu écologiques. En contrepartie, aujourd’hui avec les nouvelles technologies, on trouve sur le marché plusieurs modèles écologiques. Mais, malgré tout cela, les différents types de climatisation sont moins énergivores que les radiateurs électriques.

En outre, le climatiseur permet de réaliser des économies de chauffage, en utilisant le mode réversible. En plus, pour vous aider à choisir l’équipement le moins énergivore, n’hésitez pas à calculer la consommation de celui-ci avant l’achat. Pour ce faire, vous trouverez sur l’étiquette énergétique la puissance en watts. Vous devez alors multiplier celle-ci par le prix de l’électricité à l’heure et au nombre d’heures prévues d’utilisation. À ce propos, un climatiseur de 2 000 watts vous coûtera à peu près 32 centimes par heure d’utilisation.

Comment maîtriser la consommation d’électricité d’un climatiseur

Pour réduire la consommation d’électricité de votre appareil de climatisation, il convient de suivre les réflexes suivants.

Le choix de la température adéquate

La tendance à sur rafraîchir ou à surchauffer la maison est une très mauvaise habitude qui vous coûtera cher dans vos factures d’électricité. À la place de ce geste, essayez de ne pas dépasser 8 °C d’écart entre la température intérieure et extérieure. D’ailleurs, le réglage de votre appareil est essentiel.

Le bon emplacement du condenseur

Le condenseur, l’unité située à l’extérieur du logement, doit être placé à l’abri des rayons de soleil. Lorsque celle-ci est exposée à la chaleur, la climatisation ne fonctionnera pas correctement. Ainsi, il va consommer une quantité supérieure d’électricité pour que vous puissiez profiter de la température réglée auparavant. Pour cela, essayez d’éviter le recyclage d’air chaud autour du condenseur et ne choisissez pas un endroit exposé à un ensoleillement direct ou un vent violent. De même, il faut éliminer tous les obstacles pouvant gêner l’évacuation de l’air chaud ou froid, notamment un mur ou une végétation dense. Enfin, vous ne devez pas installer le condenseur à contre-courant.

La déperdition de chaleur et de fraîcheur dans une habitation

Un logement bien isolé vous permettra forcément de réduire la consommation de votre climatiseur. Dans ce cas de figure, vérifiez l’isolation des fenêtres, les portes et les murs. À ce sujet, les murs végétalisés sont de bonnes alternatives. Ces derniers apportent une couche isolante supplémentaire. En faisant pousser des plantes grimpantes sur le mur extérieur d’un bâtiment, essentiellement lorsque celui-ci est exposé au soleil, on crée une isolation thermique et sonore très appréciée. En supplément, vous assurez la purification de l’air ambiant grâce au phénomène de photosynthèse.

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